Seul face à son texte, un jeune traducteur déjà engagé dans le métier peut se sentir…bien seul.
Surtout s’il pratique l’une de ces « petites langues » qui ont du mal à se faire publier, et qui ne sont pas enseignées à grande échelle dans les universités.
Lecteurs, nous avons tous besoin, pourtant, de puiser à ces sources linguistiques et culturelles diverses, et la traduction est un levier décisif de la diversité éditoriale.
D’où la décision du CNL, après trois mois d’expérimentation, d’ouvrir des ateliers d’enseignement de la traduction multilingue.